Comment captiver vos clients et prospects ? Comment attirer leur attention sur les réseaux sociaux ? Comment leur donner envie de cliquer sur vos contenus et interagir avec votre boutique en ligne.
Quels sont les astuces pour attirer l’attention de votre audience
Pour attirer l’attention de votre cible, il est important de connaître leurs goûts et leurs centres d’intérêt.
Pour que votre audience se penche sur votre e-commerce, vous devez avoir une valeur ajoutée. Il faut leur apprendre de nouvelles choses et les informer.
Tout en montrant votre expertise, devenez une source incontournable d’informations.
Créer un lien pour se rapprocher de son audience
Vous souhaitez communiquer avec votre cible, mais vous ne savez pas quoi leur dire ? Quel est le contenu qui peut les intéresser ?
La première étape est de se mettre à leur place. Quelles sont les interrogations que vos clients peuvent avoir concernant vos produits ou vos services ? S’ils sont intéressés par ce que vous vendez, c’est qu’ils aiment ce domaine ou qu’ils en ont besoin. C’est la raison pour laquelle il est important de mettre à leur disposition toutes les informations nécessaires.
Ne pensez pas qu’à vos ventes et ne soyez pas égocentrique. Il est essentiel de se tourner vers le client et de se mettre à sa place. Si vous étiez un client de votre entreprise, qu’est ce que vous aimeriez voir? Quelles sont les questions correspondantes à vos produits ?
Pour captiver son audience, la deuxième étape est d’échanger avec eux. Beaucoup d’entreprises n’y pensent pas mais vous pouvez le faire sur les réseaux sociaux comme Facebook ou Instagram.
Envoyez également des questionnaires et des sondages dans votre newsletter. Attention, il ne faut pas que ce soit trop long. La simplicité fonctionne : « quel contenu aimeriez-vous voir ? ».
Ces quelques astuces vont vous permettre de faire une première liste de thèmes à aborder pour attiser la curiosité de votre cible.
Analyser vos données analytics en votre possession
Vous souhaitez :
Faire évoluer votre e-commerce ?
Captiver l’attention des prospects ?
Aborder des thèmes qui plaisent ?
Souvent vous ne partez pas de zéro, vous faite plutôt évoluer votre offre et votre stratégie en ligne existante. C’est la raison pour laquelle toutes les informations que vous avez sont bénéfiques et sont à utiliser.
Vos données analytics sont une réelle mine d’or. Avec une une bonne analyse, vous arriverez connaitre les pages populaires de votre site et le temps passé sur vos contenus.
Grâce à cette indication, vous avez la possibilité d’identifier les grands thèmes et les articles les plus lus et qu’il faudra certainement optimiser ou approfondir.
Lisez les commentaires sur les réseaux sociaux. Ils peuvent être une source d’inspiration.
Inscrivez-vous sur des groupes sur Facebook et sur Linkedin. Les consommateurs y partagent généralement des expériences de vie et des interrogations. Vous identifiez les problèmes et vous présentez les solutions aux prospects.
Chercher de l’inspiration grâce à votre veille concurrentielle
Pour affronter la concurrence, rien de mieux que d’aller découvrir les sujets qu’ils abordent.
Quelles sont les publications ayant du succès ? Quelles sont les solutions présentées ? Quelles situations leur permettent d’avoir de la visibilité ?
Vos concurrents ont la même audience que vous. Ils peuvent donc vous inspirer.
Conclusion
Pour captiver son audience, vous pouvez aborder tous les sujets dès lors qu’ils entrent dans votre thématique.
L’objectif principal est de toucher une partie de vos prospects avec les contenus qui les informes et qui peuvent être utile et ainsi les fidéliser comme client.
Restez dans votre niche pour ne pas perdre d’opportunités. N’ayez pas peur de montrer votre personnalité et d’être différent.
Notre agence SEA et nos experts Ecommerce sont à votre disposition pour échanger avec vous et trouver les meilleurs stratégies pour votre audience cible.
Mesurer son audience est une étape obligatoire pour développer son entreprise sur le web.
Celle-ci vous permet de faire le point sur vos stratégies d’acquisition ainsi que sur la qualité de vote trafic. Google Analytics est un outil puissant permettant d’avoir accès à des informations de qualité.
Google Analytics : inévitable outil pour le succès de votre entreprise
Afin de garantir le succès de votre e-commerce ou de votre site de génération de leads, vous devez faire de l’analyse de vos données une priorité.
Il faut comprendre les besoins des consommateurs, savoir où ils se trouvent, quel est leur sexe et leur âge et tout autre chose qui pourrait vous aider à améliorer leur expérience sur votre site.
Plus vous aurez d’informations les concernant, plus vous arriverez à personnaliser votre approche, identifier les problèmes et améliorer votre communication.
Le nombre de personnes touchées
Vous pouvez connaître le nombre de personnes touchées chaque jour.
Cette mesure vous permet de comprendre si vos actions publicitaires ont un impact, et si vous continué à augmenter votre audience et votre trafic.
Quels sont les canaux d’acquisition
Les internautes peuvent arriver sur votre site par différents canaux : réseaux sociaux, moteur recherches, site partenaires …
Le rapport d’acquisition permet d’identifier comment vos prospects sont arrivés sur votre site. Ce peut être par grâce à vos annonces publicitaires, ou votre pages Facebook…
Une fois que vous savez par ou les internautes arrivent, il est primordial d’identifier les canaux qui vous apporte le plus de conversions et ainsi répartir intelligemment vos investissements sur les bons canaux.
Mesurer son audience à travers Google Analytics vous permet de perfectionner vos supports de communication.
En effet, à travers les données analytics, vous allez savoir où votre audience quitte votre site et identifier les pages de sorties des internautes.
Pour garder les prospects plus longtemps sur vos pages, on vous recommande la technique de l’A/B testing. Cette pratique vous donne la possibilité d’imaginer deux stratégies et d’évaluer leurs retombées.
Vous avez ainsi le choix entre deux approches pour ne garder que celle réellement concluante.
Mesurer son audience pour la connaître à la perfection
Cet outil gratuit vous donne accès à diverses indications :
Les pages les plus visitées Le réseau social où vous avez plus d’impact Les habitudes d’utilisation : smartphones, ordinateur, tablette
Le taux de conversion
L’objectif principal de votre e-commerce est d’avoir des ventes et trouver des clients.
Google Analytics vous donne un coup de pouce en vous indiquant quels canaux vous ont permis de vendre et convertir. Vous devez donc vous poser les bonnes questions :
Vos réseaux sociaux sont-ils puissants ? Vos campagnes publicitaires convertissent-elles ? Avez-vous eu un retour sur investissement ?
Google Analytics, mis à votre disposition gratuitement par Google, doit devenir votre meilleur allié pour développer votre e-commerce.
Le cloud est partout, on en entend parler à tous les coins de rue. Il est fort probable que vous ou votre entreprise utilisiez de près ou de loin un service cloud (AWS, Google Cloud, pour ne nommer que ces deux-là).
Si vous l’utilisez intensément (plusieurs machines qui tournent en continu), vous vous êtes peut-être intéressé à l’auto-scaling.
L’auto-scaling permet d’ajouter ou d’enlever des machines en fonction du besoin, en quasi temps-réel. Par exemple lorsque le traffic de vos utilisateurs augmente drastiquement et que vos serveurs sont sous l’eau, l’auto-scaling permet de rajouter des machines afin de libérer la charge des serveurs existant, diminuer le temps de réponse pour vos utilisateurs et garder la qualité du service que vous proposez.
Sans auto-scaling le problème inverse existe également : en période creuse, vos machines n’ont rien à faire, mais vous les payez quand même.
Cela est bien sûr bénéfique pour la plateforme Cloud que vous utilisez, mais moins pour vous.
Chez Adenlab nous utilisons Google Cloud, et nous utilisons bien sûr l’auto-scaling. Le besoin est le suivant : la nuit, nous importons les data de vos comptes Google Ads, Analytics, Amazon, Bing, etc.
Nous apprenons sur ces data (machine learning), calculons les nouveaux bids de vos produits, et nous les mettons à jour sur les plateformes concernées. Et nous faisons encore beaucoup d’autres choses ! Tout cela chaque nuit.
Chacune de ces opérations a des besoin spécifiques en volume et puissance des machines. Nous avons par exemple quelques machines puissantes pour le machine learning, et beaucoup de machines peu puissantes pour mettre à jour les enchères.
Avoir autant de machines à temps plein serait une perte nette de budget, puisque la plupart n’ont rien à faire pendant la journée. Nous regroupons donc ces machines en fonction de leur type (puissance, etc.) dans des groupes, appelés Auto-Scaling Groups.
Auto-Scaling Groups
Les groupes d’auto-scaling (Auto-scaling groups, ASG) permettent de regrouper des machines de même type sous une même politique d’auto-scaling.
Par défaut dans Google Compute Engine (GCE), vous pouvez choisir de scaler en fonction de l’utilisation CPU ou mémoire. En utilisant l’outil de monitoring Stackdriver, vous pouvez créer des métriques personnalisées afin d’augmenter ou de diminuer le nombre de machines.
Malheureusement il est impossible de scaler automatiquement un ASG à zéro, c’est-à-dire de couper toutes les machines du groupe. Cela est assez logique puisqu’en l’absence de machine nous ne recevrions plus aucune métrique (CPU ou autre) amenant à re-scale de nouveau.
Dans notre cas, beaucoup de nos machines travaillent à des moments précis dans la journée, généralement pendant 8 à 10 heures d’affilée, et n’auront plus rien à faire pour le reste de la journée. Voici un exemple d’exécution de notre politique d’auto-scaling :
Auto-scaler à zéro machine
On aimerait bien sûr éviter d’avoir à payer pour une machine inutile. Nous allons voir qu’il y a un moyen d’avoir zéro machine tout en ayant un système de scaling automatique.
Il y a cependant un pré-requis : il nous faut un moyen de savoir quand est-ce qu’il est nécessaire de scale up de nouveau.
Chez Adenlab nous utilisons une taskqueue (MRQ) pour nos tâches récurrentes. MRQ nous permet d’aiguiller nos jobs vers des worker groups spécifiques, en fonction de la queue et/ou de la tâche elle-même. Chaque worker group est lié à un ASG, nous avons donc ici une métrique claire : pour un ASG donné, avons-nous des jobs en attente ?
Avec tout ça nous pouvons utiliser la structure d’ASG suivante :
Une petite (lire: pas chère) machine qui sera toujours up (pas auto-scalée)
Un ou plusieurs ASG, sans politique d’auto-scaling
En créant un ASG sans politique d’auto-scaling, GCE nous laissera bien scale à zéro machine si nous le voulons. Sur notre petite machine nous aurons un script qui tournera toutes les 5 minutes et qui vérifiera pour chaque worker group MRQ s’il y a des jobs à traiter.
Si c’est le cas, le script créera une politique d’auto-scaling pour le worker group concerné et le fera un premier scale-up à 1 machine. L’auto-scaler pourra ajouter des machines supplémentaires si besoin, en fonction de la métrique de base configurée (dans notre cas, l’utilisation CPU).
Ecrivons une tâche MRQ pour ce script. Déjà les imports nécessaires :
from mrq.task import Task
from google.oauth2 import service_account
from googleapiclient import discovery
import time
import re
Premièrement, nous devons configurer quelques paramètres concernant GCP :
class ScaleUp(Task):
project_name = "name of your GCP project"
zone = "europe-west1-c" # adapt your zone here
service_account_path = "service_account_credentials.json"
# groups that are not concerned by this task
groups_to_skip = ("group1",)
Ajoutez à groups_to_skip les worker groups qui ne devraient pas être auto-scalés : ajoutez au moins le groupe de la machine qui dépilera cette tâche.
Maintenant écrivons la méthode principale de notre tâche :
def run(self, params):
credentials = service_account.Credentials
.from_service_account_file(
self.service_account_path
)
self.service = discovery.build(
"compute",
"v1",
credentials=credentials,
cache_discovery=False
)
# We need to have a way to know what we want our different
# autoscaling policies to be.
# We could store them in a DB and fetch them here,
# so that it is shared with our Ansible playbooks for instance.
# For simplicity here we'll just hardcode them here:
self.autoscaler_configs = {
"group2": {
"min_replicas": 1,
"max_replicas": 10,
"cooldown": 180,
"cpu_target": 0.80
},
"group3": {
"min_replicas": 1,
"max_replicas": 8,
"cooldown": 180,
"cpu_target": 0.90
}
}
# First we need to fetch existing ASGs
self.fetch_groups()
# Next we want to know which groups currently have an autoscaler
self.fetch_autoscalers()
# Check each groups and see if we should scale them up
self.check_groups()
Voici comment récupérer les infos sur les ASG :
def fetch_groups(self):
self.groups = {}
request = self.service.instanceGroupManagers()
.list(
project=self.project,
zone=self.zone
)
while request is not None:
response = request.execute()
for asg in response['items']:
group_name = asg["baseInstanceName"]
self.groups[group_name] = {
"base_name": group_name,
"name": asg["name"],
"size": asg["targetSize"],
"link": asg["selfLink"]
}
request = self.service.instanceGroupManagers()
.list_next(
previous_request=request,
previous_response=response
)
On hydrate self.groups avec les infos des ASGs. Pour plus d’infos sur la structure des ASGs, allez voir ici.
Maintenant jetons un oeil au code que nous utiliserons pour créer un autoscaler pour un worker group donné :
Vous pouvez trouver le code de wait_for_operation dans cet exemple.
La dernière chose dont nous ayons besoin est une méthode pour scale up un ASG :
def scale_up(self, group, size=1):
if self.groups[group]["size"] > 0:
# Already scaled up
return
# Make sure we have an autoscaler
if not self.autoscalers.get(group):
self.create_autoscaler(group)
operation = self.service.instanceGroupManagers().resize(
project=self.project,
zone=self.zone,
instanceGroupManager=self.groups[group]["name"],
size=size
)
wait_for_operation(operation)
La logique finale de notre tâche est assez simple :
def check_groups(self):
# Now we have everything we need for the actual task logic:
for group in self.groups:
if group in self.groups_to_skip:
continue
if self.should_scale_up(group):
self.scale_up(group)
should_scale_down est la méthode qui doit contenir votre logique de scaling. Nous ne la fournissons pas ici, mais rappelez-vous que dans notre cas il s’agit de vérifier si nous avons des jobs en attente ou non.
Cette tâche est planifiée pour être exécutée toutes les 5 minutes. Cela est pratique pour notre cas d’usage car même si aucun job n’est en attente, un membre de l’équipe peut à tout moment exécuter une action qui entrainera la création d’un nouveau job.
On ne veut pas avoir à attendre trop longtemps avant que celui-ci soit démarré. Bien entendu pour toute action utilisateur qui crée des jobs et qui sont supposées obtenir une réponse rapidement, il nous faut une machine dédiée qui soit toujours up.
Dans la plupart des cas cependant il vaut mieux éviter d’avoir des tâches asynchrone pour les interactions utilisateurs qui ont besoin d’un feedback.
Nous pouvons donc maintenant scale up une machine quand on en a besoin et GCE prendra le relai s’il y en a besoin de plus. Mais nous avons aussi besoin d’un moyen de scale à zéro quand il n’y en a de nouveau plus besoin !
Pour cela nous avons une seconde tâche, exécutée toutes les 30 minutes, qui exécutera le même code que la première, à la différence qu’elle supprimera l’autoscaler et scalera à 0 machine s’il n’y a plus aucun job en attente.
Nous pouvons faire hériter notre nouvelle tâche de la précédente afin d’avoir à disposition les méthodes utiles pour communiquer avec GCP :
class ScaleDown(ScaleUp):
Nous avons aussi besoin de quelques nouvelles méthodes pour pouvoir scale down :
def delete_autoscaler(self, group):
autoscaler = self.autoscalers[group]
operation = self.service.autoscalers().delete(
project=self.project,
zone=self.zone,
autoscaler=autoscaler["name"]
)
wait_for_operation(operation)
def scale_down(self, group):
if self.groups[group]["size"] == 0:
# Already scaled down
return
# Delete the autoscaler so that we can scale to zero machine
if self.autoscalers.get(group):
self.delete_autoscaler(group)
operation = self.service.instanceGroupManagers().resize(
project=self.project,
zone=self.zone,
instanceGroupManager=self.groups[group]["name"],
size=0
)
wait_for_operation(operation)
def check_groups(self):
for group in self.groups:
if group in self.groups_to_skip:
continue
if self.should_scale_down(group):
self.scale_down(group)
Quand on sait qu’il n’y a plus aucun job en attente, on supprime l’autoscaler et on scale down complètement. De nouveau, should_scale_down contient la logique de scale down à implémenter.
Le côté positif de cette approche est que nous pouvons avoir plusieurs critères de scaling. Par exemple, afin d’éviter de scale up et down plusieurs fois de suite de manière trop rapprochée, on peut également vérifier qu’un certain temps s’est écoulé sans avoir de job créé avant de scale down.
Conclusion
Nous avons vu qu’en supprimant la politique d’autoscaling nous pouvons supprimer toutes les machines d’un groupe d’instance.
Nous avons écrit une tâche d’autoscaling qui utilise une logique custom pour savoir si un groupe devrait être up (1 machine) ou down (0 machine).
L’inconvénient est que nous devons avoir une machine séparée, toujours up et prête à dépiler notre tâche d’autoscaling.
Créer une campagne Dynamique sur Facebook et Instagram : problèmes et résolutions
Si vous êtes E-commerçants et que vous souhaitez assurer votre visibilité sur Facebook, c’est sans doute parce que 35 millions de français y sont inscrits.
Vous aurez plusieurs possibilités pour lancer des campagnes publicitaires sur Facebook et Instagram. L’une d’elle, efficace et ROIste, est la campagne Dynamique. Les publicités dynamiques sont diffusées automatiquement avec les images de votre fil de données pour les produits (flux produits)
Les publicités dynamiques utilisent le Pixel Facebook pour montrer les publicités aux personnes qui ont déjà visité votre site e-Commerce et vos produits.
Nous décrivons ici les problèmes récurrents et les solutions que nous avons apportées aux E-commerçants, lors de mise en place et lancement de campagnes Dynamiques.
Nous exposons deux cas d’erreurs qui empêchent un E-commerçant de diffuser ses campagnes dynamiques sur Facebook et mettre en place une stratégie efficace de Remarketing au près de son audience.
C’est un procédé ou plutôt une stratégie marketing permettant de diffuser des publicités ciblées auprès d’une audience ayant visité votre site ou votre application mobile. Dans le cas de nos campagnes dynamique, les annonces publicitaires sont les images des produits qui ont été visités sur votre site par les mêmes utilisateurs et qui naviguent par la suite sur Facebook ou Instagram : cette stratégie de remarketing ou retargeting.
Nous ne nous attarderons pas ici sur la création des audiences et le ciblage. Toutefois, nous vous recommandons de lire « Le Guide des Pubs Facebook pour les Ecommerces » dans lequel vous retrouverez plusieurs exemples de création d’audiences. En effet pour assurer un Retour sur Investissement élévé il faudra maitriser la segmentation de vos audiences et des campagnes dans votre compte.
Quel sont les problémes récurrents
Lorsque nous mettons en place une campagne dynamique pour un E-Commerce, il nous faut s’assurer que tous les produits du catalogue sont intégrés dans le Business Manager…C’est aussi à cette étape que nous rencontrons des « problèmes »!
Quels sont ses problèmes récurrents qui empêchent la création et le lancement des campagnes dynamiques ?
Nous avons listé ci-dessous quelques cas d’erreurs que nous rencontrons régulièrements ; Nous imaginons que vous aussi, vous avez déjà rencontré ce type de messages d’erreurs :
Aucun produit intégré dans le « catalogue » Facebook
Produits refusés dans le Business Manager
Le Pixel mal paramétré
Impossibilité de lancer des campagnes de remarketing
Avec ce type de message, décourrageant, vous être encore loin de toucher votre audience cible. Mais avec les conseils ci-dessous vous pourrez cibler les bonnes audiences et développer votre retour sur investissement sur Facebook.
Commet résoudre les cas d’erreurs
Nous exposons deux cas techniques ci-dessous avec leurs résolutions détaillées. Dans le premier cas : tous vos produits sont rejetés et dans le deuxième cas : impossibilité de faire des campagnes dynamiques car les produits ne sont pas reconnus par le Pixel Facebook
C’est parti pour la résolution des problèmes récurrents lors de la création de campagnes dynamiques et remarketing ! Et en route pour faire de la publicité ciblée auprès d’une audience qualifiée !
Nous partons du principe que vous avez accès à :
Un Facebook Business manager
Un Catalogue au format CSV ou XML
Un Facebook Pixel installé sur votre site
Cas n°1 : 100% DES PRODUITS SONT REJETÉS!
Comment passer de 100 000 produits refusés à 100% du catalogue accepté !? Il vous faudra utiliser les règles d’importation du flux Facebook
Cas n°2 : DES PRODUITS MANQUANTS DANS VOTRE FLUX DE PRODUITS & ERREURS DE MATCHING DU PIXEL
Evitez les identifiants manquants dans le catalogue. S’assurez que 100% des évènements du pixel peuvent être utilisés en remarketing (view content).
Cas 1: Tous les produits du catalogue sont rejetés
Dans ce premier cas, lors de l’intégration du flux de produits dans le Catalogue de Facebook, tous les produits ont été rejeté. Dans la capture d’écran ci-dessous vous pourrez voir que 141 005 produits ont été ajouté, mais qu’aucun de ses produits ont été mise à jour
=> 100% des produits sont rejetés !!!
La création d’un flux peut déboucher sur un diagnostic rempli d’erreurs. Heureusement, les messages de Facebook sont d’une aide précieuse.
Dans la capture d’écran ci-dessus, vous constatez que les 141 005 produits sont refusés et que 4 erreurs sont à corriger.
Ici il manque un champ obligatoire pour 4 attributs : « availability » (dispo/stock), « condition » (neuf/occasion), « image link » (lien d’image), « link » (lien/url)
1. CONSTAT
C’est en fouillant dans le flux et dans ses attributs, qu’on se rend compte que le champs “link” n’existe pas, mais que le champs “lien” existe. Voici une petite subtilité que nous n’attendions pas ! Le Business Centre ne fait pas de traduction automatique
De même pour “availability”, qui est présent en tant que “disponibilité”.
Facebook n’a pas pas fait le matching (ou la correspondance) entre ces attributs qui sont les mêmes, mais qui ne sont tout simplement pas traduits.
Nous avons donc un flux paramétré en français dans Facebook et dont les attributs ne sont pas reconnus par le Business Manager.
2. SOLUTION
Nous sommes chanceux : l’outil d’optimisation de flux de Facebook et simple d’utilisation et nous permet de retravailler le flux sans avoir à en générer un nouveau.
Dans votre Business Manager, dans la section « Catalogue », “Sources de données produits”, sélectionnez votre flux, puis l’onglet “paramètres”.
Dans les « Règles » nous pouvons ajouter des transformations comme par exemple :
availability -> disponibilité
Les valeurs passent donc de “en stock” à “in stock”, et ainsi de suite pour chaque colonne.
Dans les cas ci-dessous nous avons implémenter une dizaine de règles de correspondance pour valider notre flux :
Vous pouvez voir la progression en enregistrant ou en relançant l’import du flux en cliquant sur « récupérer ».
Bien entendu, ça peut ne pas fonctionner du premier coup.
Vous aurez sans doute plus de chance que nous ; notre catalogue, en plus d’être en français, n’est pas en UTF-8 mais en ISO-8859, créant d’autres soucis.
3. RESULTATS
Lorsque nous réimportons le catalogue les 140 972 produits sont acceptés
Tous les produits sont passés !
Des avertissements subsistent néanmoins ; mais nous pouvons tout de même utiliser notre catalogue pour nos campagnes de remarketing avec les formats d’annonces dynamiques.
Cas 2: Les évènements du pixel ne sont pas éligibles au remarketing catalogue
Lorsque l’on parle « d’événement du pixel », et dans notre cas les événements « views », il s’agit en fait des internautes qui ont visité vos pages et plus particulièrement les pages produits.
Dans notre cas, il suffit de regarder les messages de Facebook bien explicites pour comprendre qu’il y a un souci d’identifiant quelque part.
1. CONSTAT
Ci-dessous Facebook nous indique que nous ne pouvons pas « retarget » (re-cibler) les visiteurs de notre site avec les campagnes dynamiques car les produits ne sont pas identifiés ou plutôt « manquant » dans le catalogue.
On peut regarder plus en détail la liste des évènements concernés.
Les pages des produits ne sont en fait pas rattachées au « Catalogue » que nous avons importé dans le Business Manager.
Ouvrons maintenant le flux de produit pour essayer de comprendre ce qu’il se passe.
Les IDs dans le flux initial ont un préfixe de 2 lettres faisant référence au pays ciblé: ici BE20563 (surligné en jaune) dans le flux.
Or Facebook remonte un ID sans le préfixe « BE » avec uniquement les numéros « 20563 »
Facebook n’est pas capable de trouver ce pivot automatiquement
2. SOLUTION
Donnons-lui un coup de main en utilisant son outil de règles de transformation de flux.
Facebook met à disposition des outils et recommandations d’optimisation de flux assez complets.
Ici, on a donc ajouté une nouvelle règle de modification en utilisant uneregex.
BE(.*) veut dire que nous voulons capturer tous les caractères après BE, ce résultat sera défini automatiquement en $1.
On utilise donc dans l’exemple tout ce qui est après BE (ça tombe bien, c’est notre identifiant remonté par le Pixel).
Cette syntaxe peut paraître barbare, mais c’est un standard en informatique : plus d’infos.
3. RESULTAT
Appliquer et regarder l’aperçu donné par Facebook
Parfait ! Nos identifiants semblent bons désormais.
Il ne reste plus qu’à attendre que les nouveaux évènements Pixel soient affectés au bon produit du catalogue.
Maintenant nos 1127 produits sont identifiés et nous pouvons démarrer une nouvelle campagne !
#Astuce# : l’import était planifié à 2h du matin, moment auquel le flux semblait être généré. En décalant l’import de quelques heures, nous attendons ainsi qu’il soit entièrement généré avant de le récupérer pour avoir tous les produits.
Comment mettre en place tous ses éléments si vous n’avez pas toutes ces connaissances techniques ?
En effet, trouver des solutions à un problème peut prendre du temps et de la recherche.
Dans l’exemple ci-dessus certaines solutions sont tout simplement introuvables sur les sites de Facebook ou autres forums.
Nos connaissances des flux Produits et nos développements de logiciels internes pour l’optimisation des catalogues nous permettent de trouver rapidement des solutions.
De fait, si vous rencontrez ce type de problématiques et que vous avez besoin d’aide, nos développeurs et nos Traffic Managers expert Ecommerces sont à votre écoute. Notre agence SEA Adenlab est une agence Certifiée Google Partner Premier et Facebook Ads
Vos soldes d’été et d’hiver sont des grandes opportunités pour augmenter vos volumes de ventes et d’atteindre vos objectifs de Chiffre d’Affaires annuelles.
Anticipez et préparez vos campagnes Google Ads pour rendre vos campagnes efficaces et rentables pendant ces périodes fortes de l’année. Vous pouvez toujours faire appel à une agence spécialisée, une agence Google Ads Certifiée pour vous accompagner.
Les soldes durent 6 semaines mais comme vous le savez, la première semaine est décisive.
Evolution de la recherche : « SOLDE » en France
Les requêtes “Soldes” commencent à être en hausse 2 semaines avant le début des soldes. Le volume des mises des produits en favoris sur des sites e-commerce commence à augmenter considérablement 5 semaines avant le début des soldes.
1. Augmentez votre visibilité en ligne:
Commencez à augmenter votre visibilité des campagnes Shopping et Adwords 2-3 semaines avant les soldes. Profitez de la stratégie concurrentielle encore moins agressive et des cpc encore bas.
Nos solutions prédictive permettent d’analyser efficacement et facilement la concurrence de nos clients, d’augmenter la visibilité des produits de tout leur catalogue, et de développer la performance et le ROI des campagnes grâce à nos algorithmes et automatisations.
2. Adaptez votre budget et augmentez la part de voix pour vos campagnes clés:
Grâce à notre algorithme de Machine Learning, nous effectuons des simulations pour identifier le budget qui maximisera le ROI global de vos campagnes sur Google Shopping.
3. Optimisez les mots clés et les annonces de vos campagnes:
Développez vos listes de mots clés en lien avec les soldes précédentes.
Couvrez tout votre catalogue
Maximisez l’impact de vos annonces. Retravaillez et personnalisez vos annonces Textes
Vérifiez vos extensions d’annonces et personnalisez-les.
Les solutions d’Adenlab et logiciel propriétaire de notre agence créent facilement les campagnes, les mots clés, les annonces et extensions et de manière automatisée.
Elles permettent de personnaliser vos annonces en fonction des éléments (métadonnées) de votre catalogue.
Il est possible d’actualiser les annonces automatiquement en fonction du prix, du nombre de produits restants ou en fonction de la promotion proposée par catégorie.
4. Développez vos Audiences :
Vos audiences sont les clés de votre réussite et un levier de performance à travailler absolument.
Créez des bassin d’audiences avec les internautes qui recherchent vos produits en amont et retargetez ces listes pendant les soldes.
Vérifiez que vos listes d’audiences sont bien présentes dans toutes les campagnes.
Ajustez les enchères pour vos listes d’audiences et personnalisez vos annonces.
Le temps ou vous diminuez votre visibilité sur mobile car les taux de conversion étaient trop faible est révolu. Ne pas assurer votre présence sur mobiles serait une erreur !
Avec 34 millions de mobinautes, qui se connectent chaque jour à Internet sur leur smartphone, nous sommes bel et bien entrés dans l’ère mobile. La France compte à la fin de l’année 2018, 3 millions de mobinautes en plus par rapport à 2017 On ne parle plus de « Mobile-first » mais de « Mobile-only »… Cette domination du mobile ne fait que se renforcer.
Assurez-vous d’avoir une bonne présence sur le mobile ! C’est une nécessité d’augmenter la présence de vos campagnes Search et Shopping sur ce device.
7. Surveillez les promotions de vos concurrents:
Réagissez à la concurrence de chaque produit.
Grâce aux solutions Veille tarifaire, vous pouvez connaître votre position prix exacte vis-à-vis d’un concurrent, d’une marque ou d’une catégorie.
Vous aurez également la possibilité de savoir en un clic quels sont les produits mal positionnés.
Adenlab
Vous pouvez créer des alertes personnalisées pour suivre les changements de prix de vos concurrents. Vous pourrez par exemple être alerté par email dès qu’un Produit X sur Amazon devient 10% moins cher que vous.
Et nous pourrons automatisez votre visibilité sur Google Shopping en fonction des données prix de la concurrence (Dans notre Lab : Positionnement prix et campagnes Shopping)
Adenlab est une société SAS au capital de 100 000,00€, immatriculé 852 682 921 au registre de commerce de Paris et dont le siège social est le 41, rue des jeûneurs – 75002 Paris.
Pour toute personne qui demande une démo et conformément à la loi Informatique et Liberté n°78-17 du 6 Janvier 1978 et ses décrets d’application, celle ci dispose d’un droit d’accès, de modification, de rectification et de suppression des données nominatives le concernant, exerçable auprès de Adenlab, à l’adresse suivante : contact@adenlab.com
Découvrez les secrets et les pouvoirs des listes d’audience spécialisées pour le E-Commerce : valorisez votre blog, optimiser les conversions de certains profils, identifier de nouveaux parcours, etc.
Une liste d’audience est composée de personnes qui ont démontré de l’intérêt pour vos produits. Grâce aux cookies déposés sur leur navigateur, vous pouvez suivre ces prospects et les remarketer (retargeter) en ligne.
Les listes d’audience de Google AdWords vous permettent ainsi de cibler les prospects plus susceptibles de convertir – et donc d’optimiser votre budget AdWords.
Création d’une liste d’audience en 5 points clés.
Créer une liste d’audience se fait en quelques étapes simples sur Analytics :
Connectez-vous à votre compte
2. Cliquez sur Administration > Propriété où vous souhaitez créer la liste
3. Cliquez ensuite sur Définitionsd’audience > Audience dans la colonne Propriété
4. Cliquez sur + Nouveau type d’audience
5. Entrez les paramètres de votre type d’audience.
5 types d’audience à fort potentiel pour le e-commerce.
Abandon de panier par source de trafic : trier vos abandons de panier en fonction des sources de trafic vous permet d’augmenter la conversion de chacune, tout en analysant celles qui convertissent le plus.
Visites pendant les heures de travail / en dehors des heures de travail : ce segment permet de mieux cibler les visiteurs en affichant vos publicités aux meilleures heures.
Conversions par nombre de visites : ce segment vous permet de connaître le nombre de visites nécessaires pour chacun de vos objectifs de conversion.
Taux d’engagement supérieur : les personnes dont le taux d’engagement est supérieur à la moyenne des visiteurs sont plus susceptibles de convertir.
High-Value Customers : ce sont vos clients qui dépensent 2, voir 3 fois votre panier moyen. Comprendre leur comportement vous permet de mieux les cibler dans vos campagnes d’acquisition, tout en optimisant votre site pour encourager les autres visiteurs à agir comme eux.
Pour allez encore plus loin et devenir un ninja de Google Analytics, nous vous recommandons vivement de mettre en place les Entonnoirs de Conversion de Google Analytics; Dans notre article « Comment configurer les entonnoirs de conversion dans Google Analytics » vous serez guidé, étape par étape, et deviendrez un champion de l’optimisation de vos taux de conversion !
Conclusion
Les listes d’audience sont des leviers de croissance très intéressants. En les mettant en place, vous augmentez votre conversion tout en optimisant votre budget Google Ads.
Depuis plusieurs années, Adenlab agence SEA Google Partner Premier, s’est spécialisée dans la gestion des campagnes des Ecommercants et exploite au maximum les paramètres d’audiences, le catalogue et son flux de produits ainsi que l’automatisation.
Campagne Google Shopping : Les performances passent par 2 leviers essentiels:
1. L’ajustement des enchères ou le bid management 2. La pertinence et la qualité des données fournis dans le flux de produits
Réussir ses campagnes Google Ads et plus particulièrement les campagnes sur Google Shopping est une priorité des Ecommercants; Chez Adenlab, agence SEA, les campagnes Shopping ont toujours été le moteurs de nos optimisations et developpements d’outils.
Les paramètres de ciblage d’audience, la gestion du catalogue pour l’optimisation de flux et la gestion des campagnes produits (shopping, search, display et Youtube) sont des combinaisons gagnante.
Nous parlons beaucoup de ciblage et d’audience avec nos clients car c’est primordial de diffuser vos annonces auprès des bonnes personnes, au bon moment, et au bon endroits
( à lire aussi : Google Ads et Facebook Ads: Comment garantir le succès de vos campagnes grâce aux paramètres d’Audience et au Remarketing
Toutefois, dans cet article nous allons aborder "la qualité des données" du flux et nous concentrer sur les éléments – ou plutôt les attributs du flux –
Ce qui vous permettra de gagner en pertinence sur google shopping, d’améliorer les performances de vos campagnes Google Shopping.
Ameliorer les données du flux impacte directement :
Votre taux de clic (CTR) : des hausses du CTR sera attendu Votre cout par clic (CPC) : des baisses de CPC sont aussi possible Votre retour sur investissemnt : des hausses de votre ROI sont à la clé
⇒ **Petit Quizz avant de commencer ** : Combien y-a-t-il d’attributs dans un flux Google Shopping ? Il peut y avoir jusqu’à 46 attributs dans le flux !
Et oui , c’est beaucoup 😉 et tous ne sont pas obligatoires ou utiles : cela va dépendre du type de produits que vous vendez et de votre secteur d’activité.
Toutefois, nous n’allons pas passer en revu les 46 attributs, mais plutôt nous concentrer sur les meilleurs pratiques qui vous permettront d’obtenir de meilleurs résultats. La gestion des enchères sera abordée dans un autre post.
Maximiser le nombre d’attributs du flux Soigner les Titres et Descriptions Précisez la Catégorie de Produits Utilisez les Images de Qualité
Le Titre du Produit
Le Titre de votre produit est certainement l’attribut le plus important; Améliorer votre titre est un des enjeux prioritaire de l’optimisation de flux.
Inclure le Top Mot Clé : En effet le terme ou mot clé principal sur lequel vous voulez vous positionner, doit être présent dans le titre et plutôt en début de phrase.
Inclure le type de produit : si votre produit est un "étui à couteau", intégrer ce terme dans le titre; C’est plutôt évidant mais surtout très utile car en incluant le type de produit dans votre titre, vous êtes dans la description du produit même que vous vendez.
La couleur , la marque, la taille, le genre : sont des éléments que l’on retrouve dans d’autres attributs du flux mais qui peuvent être ajouté dans le Titre. En effet, avoir un Titre au plus proche des recherches de vos clients permettra de se positionner sur davantage de termes précis.
La limite est de 150 caractères pour un Titre : donc soyez le plus détaillé possible et le plus précis.
Travailler sur l’optimisation de vos Titres peut augmenter considérablement vos impressions et votre visibilité !!
La Description du Produit
Bien que la description n’est pas très souvent visible par les internautes , celle-ci joue un rôle important dans votre flux; En effet la description (jusqu’à 5000 caractères) vous permettra de compléter les informations du Titre et ainsi travailler davantage sur la longue traine et les requêtes plus précises.
Précision : bien que vous pouvez intégrer pas mal de contenus dans la description, le but est surtout d’être concis et précis; Une description du produit claire sera le plus efficace.
Mots clés et recherches : pensez au mots clés que vos clients vont rechercher pour trouver votre produit; ces termes doivent se retrouver dans la Description
Google Product Category
Google a créé un liste de catégorie et sous catégorie de produits permettant ainsi "classer" chaque produit de votre catalogue. Cette attribut du flux est recommandé mais obligatoire dans certains secteurs;
Utiliser les catégories de Google parmi les +6000 catégories et sous-catégories. Vous pouvez télécharger la taxonomie de Google ici
Choisir la bonne catégorie : afin de gagner en qualité, vous avez toujours intérêt d’être le plus précis dans le choix de votre catégorie
Les images
Les images font parties des facteurs les plus importants ! En effet, c’est le 1er élément que vous futurs clients vont voir avant de cliquer sur votre annonce. Votre photo doit être attractive et réaliste;
Fond claire : Google demande que la photo du produit soit sur un fond claire; De manière général un fond blanc reste le plus adapté
Taille de l’image : il est recommandé d’utiliser des images en 800×800 pixels. Le minium est de 250×250 pixels pour les produits vestimentaires et de 100×100 pour les autres produits.
Pas de texte ou logo : seul l’image du produit doit être visible; n’ajoutez pas de texte promotionnel sur votre image
Plus recement le Merchant center à mis en place une option d’amélioration automatique des images.
Vous pouvez activer ce parametre dans votre comtpe Merchant Center dans :
Cliquez sur l’icône Outils (la clé à molette en haut àd roite de votre compte) > Paramètres > Amélioration automatique
Pour plus de détails suivez le lien d’aide Merchant Center ici
Mise à jour des prix automatiquement
Activez la mise à jour des prix et des disponibilités dans votre compte Merchant Center afin que Google puisse actualiser vos articles en fonction du balisage des données structurées que nous trouvons sur votre site Web.
Les problèmes tels que la latence entre les mises à jour sur votre site Web et les mises à jour de vos données envoyées sur Google Shopping peuvent donner lieu à des données produit inexactes ou dépassées.
Vérifiez la structure actuelle de vos microdonnées à l’aide de l’outil de test des données structurées.
Pour allez plus loin dans l’optimisation de votre flux, nous vous recommandons aussi de lire notre article sur les 5 étapes pour [optimiser votre Catalogue et votre flux Google Shopping](/news/optimisation-de-votre-catalogue-pour-cette-fin-danne/ avant les soldes
CONCLUSION
L’optimisation du flux n’est pas simple et demande plusieurs étapes d’analyse:
Analyse des attributs
Analyse des erreurs identifiés par le Merchant Center
Analyse des recherches des internautes et mots clés
Identification des produits à potentiels/prioritaires à optimiser
Optimisation technique du flux
Optimisation des titres, description …
Chez Adenlab, nous avons développé une forte expertise des catalogues des Marques & Ecommerce, tant sur l’aspect Analyse, que sur l’aspect optimisation des flux et la gestion des campagnes Google Ads pour les Ecommerces;Notre Agence SEA est spécialisée dans la gestion de compte Ecommerce
Nos solutions permettent d’intégrer efficacement et facilement la concurrence de nos clients, d’augmenter la visibilité des produits de tout leur catalogue, et de développer la performance et le ROI des campagnes Google Ads grâce à nos algorithmes prédictifs et automatiques.
En débutant cet article, il me semblait intéressant de revoir les évolutions du SERP de Google (résultat de recherche du moteur) et parler des changements majeurs de ces dernières années.
Toutefois, j’ai finalement jugé plus pertinent de revoir l’information et montrer comment Google adapte son moteur de recherche face à la croissance du trafic mobile et aux comportements des internautes lors de leurs recherches “produits”.
Toutes ces évolutions ont, bien entendu, un impact sur la gestion des campagnes, des annonceurs et sur leurs performances …
Partie 1 : Adaptation du SERP au comportement et trafic mobile
Avec 34 millions de mobinautes, qui se connectent chaque jour à Internet sur leur smartphone, nous sommes bel et bien entrés dans l’ère mobile.
La France compte à la fin de l’année 2018, 3 millions de mobinautes en plus par rapport à 2017.
On ne parle plus de « Mobile-first » mais de « Mobile-only »… Cette domination du mobile ne fait que se renforcer.
Avec ces informations, on comprend bien le besoin de Google d’adapter et harmoniser ses résultats sur son moteur, tant sur le mobile que sur les ordinateurs.
1. L’affichage des annonces Adwords :
Depuis plusieurs années Google teste et change l’affichage des annonces payantes.
Courant 2013, un grand changement opère dans l’affichage : les annonces payantes, jusqu’à maintenant, identifiées par un fond coloré orangé-rose ne le sont plus ! Le fond coloré disparaît pour n’afficher qu’un tag jaune avec la mention “Ads” à côté de l’annonce.
La chronologie ci-dessous illustre bien l’évolution des opérés par Google au cours de ces dernières années.
Les changements d’affichage, visibles ci-dessus, ont eu un impact sur les comportements des internautes et sur les performances des liens sponsorisés.
Une étude a d’ailleurs récemment montré que plus de 55% des internautes qui consultent Google ne distinguent pas les liens sponsorisées des liens gratuits. Résumé de l’étude Ofcom Je vous laisse faire votre propre conclusion 🙂
Quel affichage pour 2019 ?
Depuis 2016-2017, Google affiche ses annonces avec le label « ads » ou « annonce » en vert.
Il s’emblerait que du nouveau arrive dans l’affichage des annonces cette année.
Quelques tests seraient en cours aux UK avec un affichage en noir. Ces informations ont été publié sur le blog de Search Engine Land
Il ne s’agit peut-être encore que d’un test, mais attendons-nous donc à du changement.
2. Suppression des annonces latérales
Dès février 2016, Google a supprimé les annonces Adwords de la colonne de droite du SERP.
Cette suppression a été accompagné de l’introduction d’un quatrième lien d’annonce dans le “carré VIP” du haut de page. Deux exceptions :
Les annonces Google Shopping qui gagnent en visibilité sur la colonne de droite Le Knowledge Graph
Ainsi sur les 11 annonces initialement visibles sur une page (3 annonces en haut de page et 8 annonces sur la partie droite des résultats), on passe à 7 annonces visibles dans les résultats (4 annonces en haut de page et 3 annonces en bas de page).
Exemple d’affichage sur la requête “Séjour Seychelles” (pour rêver un peu ;))
Ce changement d’affichage concorde avec l’harmonisation les résultats du moteur sur Desktop et Mobile, étant donné que les mobiles n’affichaient pas les colonnes de droite dans leurs résultats.
Sur Desktop, ce sont les annonces des campagnes Shopping qui ont bénéficié de cette espace pour afficher davantage de produits.
Il en va de même pour le Knowledge Graph qui s’affiche aussi sur la colonne de droite.
3. Expanded Text Ads (ETA)
Le format ETA a été un changement important.Le format a permis la diffusion d’annonces plus longues sur tous les appareils (ordinateurs, mobiles, tablettes) :
Historiquement, les annonces “classiques” était structurées de la manière suivante :
Un titre d’annonce de 25 caractères maximum Un premier descriptif de 35 caractères maximum Un deuxième descriptif de 35 caractères maximum Une Url affichée de 35 caractères maximum
Ce qui change ?
Ajout d’une seconde ligne de titre (30 caractères chacune) Les lignes de description sont fusionnées (80 caractères) Une URL affichée personnalisable (2 champs personnalisables de 15 caractères chacun)
Soit un total de 170 caractères ; toutefois c’est plutôt la taille en pixel qui compte pour l’affichage et la longueur de l’annonce : un “M” majuscule n’ayant pas la même taille que le “m” minuscule, il se peut que votre titre soit “coupé” si la taille de l’annonce est trop grande.
A l’époque, Google avait annoncé des résultats et avantages de ce format d’annonces :
Un titre qui prend plus de place pour mieux mettre en valeur vos produits et services Jusqu’à 50% d’espace en plus pour vos annonces (ordinateur et mobile) Jusqu’à 20% de CTR en plus
Une fois de plus, les raisons données par Google pour ce changement majeur : le mobile.
En effet, plus de la moitié des recherches sont maintenant effectuées depuis un appareil mobile. L’objectif était d’harmoniser les formats des annonces ainsi que l’affichage dans les résultats de recherche.
Mobile Mobile Mobile… c’est effectivement une conclusion évidente que je peux faire suite aux changements opérés. Pour les e-commerces, ces changements ont un impact sur les performances des campagnes AdWords mais aussi sur l’attribution des budgets.
Pour rappel, les dépenses réalisées par les annonceurs sur Google sont toujours en croissances et le “search” (liens sponsorisés, référencement payant), est le 1er poste de dépense du mix digital, représentant 45% des investissements de pub online. (21ème Observatoire de l’e-pub).
Le Search Marketing reste dominé par Google qui capte près de 93% des requêtes sur les moteurs de recherche en France.
35% des achats se font sur Mobile en 2018 (+22% par rapport à 2017)
La seconde partie est consacrée aux changements majeurs de l’expérience Shopping que propose Google.
Partie 2 : Evolution de l’Expérience “Shopping” sur Google
En 2014, Google avait annoncé un changement dans son algorithme avec ce qui a été appelé “Mobilegeddon” en faveur des sites mobiles/responsives dans les résultats de recherche naturel (SEO);
Une démarche censée pousser les e-commerces à accélérer leur transformation vers des sites plus “Mobile” face à un trafic mobile toujours plus important.
Si on reprend les prévisions de Cisco sur le trafic Mobile, il devenait primordial pour les e-commerces (et Google) de s’adapter aux nouveaux usages que nous faisons de nos “téléphones”…
Les prévisions qu’avait annoncé Cisco étaient sans appel : le trafic mobile dans le monde sera multiplié par 9,2 (entre 2015 et 2020), à raison d’une croissance de 56% par an.
En effet, pour forcer la marche vers le mobile, Google lance en 2014, le label “mobile-friendly”; le label s’affiche dans les résultats de recherche sur mobile, signalant à l’internaute que la page web du lien répondait aux critères établis par Google.
Dans cette même démarche (mai 2015), et de manière un peu plus radicale, c’est l’algorithme de Google qui favorise les sites “mobiles” dans les résultats naturels.
C’est le “Mobilegeddon” : nom donné pour l’update de l’algorithme en faveur des sites “mobile friendly”. Cette update aurait valorisé les résultats naturels de 4,7% des sites “mobiles”.
Pour beaucoup de e-commerces, il a été difficile d’évaluer l’impact du trafic mobile sur les ventes étant donné que le volume de transactions directs reste plus faible.
C’est encore plus difficile à comprendre (ou à accepter) quand ce trafic est payant.
Pour un grand nombre de site, le constat restait le même : un trafic mobile en croissance mais trop peu de conversion…
Du coup, Google a proposé de nouveaux formats publicitaires censés être plus adaptés aux recherches de produits et aux moments “shopping” des internautes/mobinautes
1. Format des annonces Shopping sur mobile : avant/après
Ci-dessous un aperçu de l’évolution des annonces Shopping sur mobile. Le constat est clair : plus de place pour les annonces Shopping avec des images plus grandes. Ces changements ont un impact sur les budgets et le trafic des annonceurs.
Les clics sur les annonces Shopping (Mobile) ont augmenté de 193% Q1 2016 aux US (Q1 Digital Marketing Report de Merkleinc).
Pour continuer sur cette lancée, en mai 2016, Google a annoncé que les annonces Shopping s’afficheront aussi dans les résultats des “Images” du moteur.
Depuis cette date, le volume de clics a fait un bond significatif sur le “Desktop” (ordinateur) : +13%.
2. Format “Showcase” des Campagnes Shopping
Le constat est simple, 40% des recherches des “shoppers” sur Google sont des recherches génériques, vagues.
Exemple: Une recherche telle que “chaussure de sport”, “robe de soirée”, “mobilier de chambre”.
Ce type de recherches imprécises drainent beaucoup de trafic (et des coûts d’acquisition). A la place du e-commerçant, je ne souhaite pas payer trop cher ce type de prospect, qui j’imagine, est encore loin de l’acte d’achat.
A l’inverse je veux m’assurer que l’internaute qui recherche un produit précis puisse consulter mes offres.
Lors du recherche “générique”, vous comme moi, souhaitons consulter une offre large de produits afin de trouver des idées ou m’orienter vers un produit qui correspond à mon besoin.
Exemple : La robe que je voudrais offrir à ma femme, pour son anniversaire, je vais à mon avis faire le tour de plusieurs sites pour faire mon choix.
Or les annonces Shopping actuelles répondent beaucoup mieux à des requêtes précises et sont moins intéressantes pour les internautes indécis.
Dans cet exemple, il y a plusieurs étapes dans la recherche et dans l’utilisation du “Showcase” :
Je recherche “miroir” sur Google
Google affiche plusieurs “Showcase” par annonceur
Je clique sur l’annonceur, ici Home Decor.
Toutes les “miroirs” de Home Decor s’affichent.
Le format “Showcase” semble répondre à mon besoin de flâner et choisir dans les catalogues des boutiques en ligne.
Et pour les e-commerces, payer des clics de prospects plus qualifiés.
3. L’extension de prix sur le mobile
Last but not least … Juillet 2016, Google introduit l’extension de prix. L’objectif de cette extension pour les annonces textuelles mobiles : attirer des prospects toujours plus qualifiés, en ajoutant des informations sur les gammes de prix de vos produits et services.
Avec ce type d’extension, on peut “imaginer” que Google s’est inspiré des campagnes Shopping des e-commerces qui globalement ont des taux de conversion plus élevés que les annonces textes.
C’est aussi une manière de décourager des acheteurs qui ne souhaitent pas acheter vos produits ou services aux prix que vous pratiquez.
Pour plus d’informations concernant les stratégies et campagnes Google Ads contactez-nous !